À l’heure où le luxe se veut plus transparent, plus durable et plus sensible à son impact, une réalité persiste :
la traçabilité des cuirs reste un point noir de l’industrie.
Une traçabilité totale, du vivant à la pièce finie
Malgré les progrès affichés, la majorité des marques ne peuvent toujours pas certifier, de façon complète, l’origine exacte de leurs cuirs.
Où l’animal a-t-il été élevé ? Comment a-t-il été nourri ? Où et comment la peau a-t-elle été tannée ?
Les nouvelles réglementations européennes — comme le règlement anti-déforestation qui entrera en vigueur fin 2025 — imposent désormais un niveau de traçabilité inédit pour les produits.
Il ne suffit plus de garantir un bel objet ;
il faut pouvoir raconter, prouver, documenter la provenance des matières.
Et pourtant, le cuir reste dominé par les filières longues, délocalisées, complexes, où la peau a souvent traversé plusieurs continents, et parfois plusieurs traitements sans que nous le sachions. Un paradoxe de plus, alors que les créateurs, artisans et maisons sont en quête de matières éthiques et singulières, capables de conjuguer ancrage, noblesse et impact maîtrisé.
C’est dans ce contexte que le cuir d’autruche retrouve toute sa pertinence.
Et pas n’importe laquelle : celle d’un cuir produit, transformé. et valorisé intégralement en France,
dans une logique de circuit court, d’excellence et de responsabilité grâce à LAPLAINE
La maison s’est construite avec une exigence de transparence totale :
Autruches élevées en plein air, nourries à base de céréales locales, dans le respect strict du bien-être animal et des normes sanitaires françaises.
Chaque peau est triée à la main selon des critères esthétiques et techniques exigeants : homogénéité du grain, état de surface, souplesse.
L’ensemble de la peau est exploité dans une logique de production raisonnée et circulaire, sans rebuts inutilisés.
La peau, prélevée lors de l’abattage pour la viande, est immédiatement salée puis tannée en France par des structures certifiées, selon des procédés adaptés.
